Ce n'est pas que je veuille vous cacher quoi que ce soit, mais la lecture de cette page peut vous paraître longue, bien longue, indigeste même diront certain(e)s, non sans raison d'ailleurs. Elle peut néanmoins vous apporter matière à réflexion pour comprendre sous un autre angle certains évènements de votre propre vie, et aussi combien nous pouvons être aidés, sans, bien souvent, en être pleinement conscient(e)s.

 

Vous pouvez donc, sans remord, vous rendre directement à L'essentiel, quitte à y revenir ultérieurement.

Éludons cette période de mes 7 premières années, semblable chez nombre d'humains, exclusivement dédiée à la prime enfance et surtout dominée par des besoins d'ordre alimentaire (je tiens ici la main de ma maman vers 1949-1950)…

Vers 10-11 ans, je me suis surpris (au propre comme au figuré)  à me faire cette réflexion « mais qu'est-ce que je f… dans ce monde qui n'est pas le mien » – çà commençait donc très fort ! Le rappel d'un très lointain passé (plus de 2500 ans tout de même !) prît pour moi la forme d'une expérience très désagréable : deux compagnons de classe classe de 6ème, s'emparant de moi, me firent "boire la tasse" à la piscine, me rejouant (je l'appris plus tard) le scénario d'une mort en Égypte pharaonique lors d'une initiation par l'eau… panique monstrueuse du marmot (qui ne devait comprendre le fin mot de l'histoire que près de 40 ans plus tard – çà vaut le détour – que nous ferons dans la page "Une semaine révélatrice" !). Entre ces deux dates, mon parcours scolaire, puis professionnel, devaient m'apporter leur lot de découvertes et d'informations diverses, toujours très orientées vers « le Grand Inconnu » :

  • Découverte du principe de cause / conséquence en prémisses des cours de mathématiques au collège Fontenelle de Rouen (maths que mon esprit pragmatique me poussera toujours à fuir comme la peste… jusqu'à mon redoublement de la classe de 3ème ou, chez mes grand-parents dans le Jura – une jaunisse fort opportune, ayant quelque peu prolongé mes vacances, je fus "repris en mains" par M Dormond, le mal nommé puisqu'il avait oublié de dormir, un libre penseur ouvertement anticlérical, et décidé à faire entrer dans ma petite caboche des subtilités comme le l'expérience de Marienbad, – ouvrant directement sur l'informatique, que je rencontrerai ultérieurement dans ma vie professionnelle – copieusement décrit dans un,deux, trois, l'infini… au secours !)…
  • Suite à quoi, je me "réfugiais" dans l'apprentissage et "embrayais" sur l'électronique, encore balbutiante à l'époque    – on n'y connaissait encore que les "tubes" –, et son cortège d'ondes électromagnétiques ! Premières interrogations sur le catalogue pour le moins décousu des fréquences, apparemment sans aucun rapport les unes avec les autres,  et prise de conscience de la manie qu'a notre intellect de tout mettre dans des petites cases soigneusement étiquetées ! Il doit bien y avoir une explication rationnelle à tout çà, faudra approfondir !,
  • Étude de l'erreur fondamentale commise par Isaac Newton (rien ne ressemble plus à l'attraction terrestre que « la poussée équipotentielle de tous les points de l'espace », simplement "masquée" par un corps céleste – fût-il humain !) puis, dans la foulée, celle d'Archimède (prenant le cas particulier qui lui avait été soumis pour une généralité !), allant même jusqu'à esquisser un théorème plus « conforme à une réalité plus vaste » ! Ainsi que, plus récemment, l'impact des tirs vers l'espace ! Bref, l'éclectisme absolu sans tabous quand à l'ampleur de mes réflexions ni de celle des victimes choisies, mais avec toujours un même fil rouge : "le Grand Inconnu" !

Immanquablement, cette constance dans les interrogations devait me conduire vers une série d'expériences, plus ou moins agréables comme celle qui m'a fait "regagner rapidement mes baskets" lorsque je me suis demandé, suffisamment intensément, s'il y avait une limite à l'univers !?!

Ou lorsque je me suis vu en train de conduire ma voiture (c'est malin tiens !)


L'essentiel :

 

Une des premières recommandations que nous pourrions nous attacher à observer, c'est d'être au maximum attentif(ves) aux plus infimes de nos expériences… toutes, absolument toutes, ont leur raison d'être (qu'elles soient ou non agréables). Que votre vie soit truffée d'évènements délicieux (c'est assez rare) ou regrettables (à vite oublier une fois la leçon apprise), une vie équilibrée se compose généralement des deux. S'appesantir sur les aspects négatifs provoque toujours une réaction en chaîne vers plus de souffrances (j'en ai eu mon lot, je sais de quoi je parle !). Seul vrai remède efficace, remettre son fardeau aux forces créatives de l'univers, sans pour autant l'abandonner ("aide toi, le ciel t'aidera !"), et affûter notre intuition – que l'on peut considérer comme une « ligne directe » avec le "ciel", en tous cas, avec nos guides, heureusement toujours présents !